G comme GÉNÉALOGIE

Archive : Donation par la Veuve FRICHOT à ses enfants et partage entre ces derniers, le 5 novembre 1833.

Lieu : MAULE (Yvelines). La veuve réside au Val-d’Aulnay.

Visite générale : Petite surprise en consultant les dix-huit pages de l’acte : vaste promenade dans un nombre incalculable de parcelles de terre… mais nous n’entrons pas dans la maison car celle-ci n’est pas « partagée » à cette occasion. Qu’à cela ne tienne, nous allons faire aujourd’hui un peu de généalogie et compléter notre arbre.

Promenade dans l’inventaire, (morceaux choisis) :  Pas moins de huit enfants se partagent la succession de feu Jean FRICHOT, cultivateur. Sa veuve, Catherine MALÈVRE secondée par Monsieur le Notaire a donc constitué huit lots qui sont tirés au sort à la fin du rendez-vous. La maison dans laquelle vit Catherine doit faire l’objet d’un partage à part, puisqu’il est bien mentionné qu’elle en garde l’usufruit jusqu’à son décès… Un acte que je n’ai pas repéré dans le répertoire du notaire, et qui doit se trouver dans une autre liasse car je ne l’ai pas croisé.  

Broderies : En l’état actuel de mes recherches, Jean FRICHOT, tour à tour vigneron et cultivateur, est né en septembre 1750 à Aulnay-sur-Mauldre où il décède plus de quatre-vingts ans plus tard, en octobre 1833. Il forme avec son épouse Catherine MALÈVRE un couple de nos ancêtres à la génération 8. Ayant remonté cette branche sans m’attarder sur les collatéraux, je ne leur connais – avant la découverte de cet acte – qu’une fille, Marie Avoyé FRICHOT, épouse JONON (patronyme de notre grand-mère maternelle). Je constate donc ici que la famille était nombreuse. Marie a en effet sept frères et sœurs, tous majeurs au moment de la disparition de leur père. Vient en premier Jean Baptiste, un journalier célibataire sans domicile fixe, domestique à SAINT-CYR chez un blanchisseur au moment de la signature de la donation. Puis Marie Adélaïde, autorisée par son époux Louis LAPORTE, jardinier, demeurant à SAINT-NOM-LA-BRETÈCHE. Suivent Marie Véronique, célibataire, domiciliée à VERSAILLES, rue de Paris et Marie Geneviève épouse LECLERC, installée à Cul-froid (!) dans la commune d’AULNAY. Arrive ensuite notre Marie Avoyé, dont l’époux Jean Louis JONON est chapelier à MAULE. La longue liste des bénéficiaires prend fin avec Marie Françoise épouse BLOUIN, installée à ORGEVAL et Rosalie épouse GARÇON demeurant à LA FALAISE. Voilà une belle liste de noms qui pourra se transformer en base de recherches dans le cas – totalement improbable – où ma liste de tâches à faire en généalogie venait à tarir.

4 commentaires

    1. Après vérification des actes c’est assez variable. Parfois il y’a l’accent d’autres fois il n’y est pas 🤷‍♀️ je n’en ai qu’une et je n’avais jamais croisé ce prénom.

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