K comme Képi

Archive : Donation et partage MOULÉ, par Madame Louise Elisabeth LANGLOYS, propriétaire à DAMPIERRE, veuve de Charles Simon MOULÉ. Le 21 avril 1855.

Lieu : CHEVREUSE et Fourcherolles, commune de DAMPIERRE, dans les Yvelines.

Visite générale : Une maison et ses dépendances situées à CHEVREUSE, faubourg de l’Ave Maria. Une maison et ses dépendances situées à CHEVREUSE, rue de la Porte Saint-Michel ou rue de Dampierre. Une maison et ses dépendances situées à FOURCHEROLLES, commune de DAMPIERRE. 

Promenade dans l’inventaire, (morceaux choisis) :  Une maison et ses dépendances, placées derrière d’autres bâtiments, composées d’une chambre à feu au rez-de-chaussée, une autre chambre au premier étage sans cheminée, à laquelle on monte par une escalier extérieur. Greniers au-dessus, couverts en tuiles, caves sous la première chambre. Jardin à côté de ses bâtiments, dans lequel est un puits. Cour commune devant cette maison et passage commun à partir de la rue jusqu’à ces bâtiments.

Broderies : Nous entrons dans la troisième semaine du Challenge avec des collatéraux. En effet, Charles Simon MOULÉ est le frère de Jean Baptiste MOULÉ, notre ancêtre à la génération 8 ; ce sont les petits enfants de Pierre HUVELLIER et Anne PORTIER, dont nous avons fait la connaissance à la lettre A. L’acte du jour fait partie de ces photos prises parce que le patronyme est connu, mais le prénom du défunt ne me disait pas grand-chose, idem avec tous les bénéficiaires. Je le retrouve finalement dans mon arbre en tant que témoin au mariage de son frère – d’où l’intérêt d’enregistrer tous les témoins, parrains, marraines, etc. Je n’avais juste pas pris le temps de le raccrocher à ses parents, c’est chose faite à l’instant. Charles Simon était garde forestier et ça tombe bien, parce que dans l’exercice de ses fonctions, il est bien probable qu’il portait un képi 😊. Hop, ça c’est fait ! L’étude de l’origine des propriétés, qui me paraissent bien nombreuses, nous apprend que la majorité des biens venaient de la succession LANGLOYS. Un sacré patrimoine immobilier accumulé ! À son décès, Charles Simon comptait encore trois filles, toutes autorisées par leur mari. Seul un garçon complétait cette fratrie, décédé en 1853, et représenté ici par ses deux enfants mineurs, sous tutorat de leur mère. Un acte finalement bien intéressant parce qu’il va me permettre d’habiller cette branche très rapidement, alors que dans le déroulé de mes recherches habituelles, je ne me serais sans doute jamais arrêtée sur ce feuillage de collatéraux.

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